mercredi 21 mai 2008

ENQUETE SUR SITUATION D'APARTHEID EN GUYANE DITE FRANCAISE

ENQUETE SUR SITUATION D'APARTHEID EN GUYANE DITE FRANCAISE

Guyane le 8 Juin 1995

Objet: Requête nationale et internationale en faveur des droits et de la non-discrimination des personnes originaires de la région du Maroni en Guyane française

Approuvée et rédigée en date du 22 Avril 1994, en l'Assemblée Générale par "WI-ALAWANI"(Association Assistance Humanitaire Et De Défense Des Droits Des Populations Du Maroni ) , la présente requête a pour but de défendre les intérêts des ces populations, tels que leurs droits fondamentaux, fonciers, sociaux , culturels et civilisationnels et lutter contre la discrimination.

Ceci fait suite au Congrès du 8 au 9 avril 1994, publié par les médias français et internationaux, ayant regroupé les Grands Mans, les ethnies négro-africaines amérindiennes des deux côtés du fleuve, en présence d'un Ministre et d'un Préfet surinamien mais en l'absence regrettable du Préfet français.

HISTORIQUE

Depuis L'institution de la traite des nègres, les peuples noirs déportés en Guyane se sont révoltés en Amérique du Sud, en Guyane. Ils ont constitué

l'une des premières institution politique, culturelle et civilisationnelle par l'organisation coutumière qu'ils ont pu mettre en place dans la forêt amazonienne, village, communes... (côté Guyane française) y compris du côté du Surinam. Depuis l'indépendance, ils possèdent d'ailleurs des députés et un préfet pour les représenter.

Dès 1762 ils mettent fin à une lutte avec les puissances coloniales et notamment la France en signant un traité de paix qui leur a valu un espace de liberté territorial qu'ils occupent en l'occurrence à Apatou et la région du Marroni.

SITUATION ACTUELLE

Aujourd'hui on les juge minoritaires mais en réalité les populations des deux côté du Maroni y compris l'émigration en Hollande dépassent les 155. 000 âmes...

Dans le cadre de la République française, leur communauté a été réorganisée et ils ont constitué une hiérarchie coutumière ( Grand Man, Capitaine, Bachya etc.) garant de la paix ou du controle au sein peuples Noirs Marrons. L'autorité coutumière est reconnue par les autorités françaises et ses représentants : Préfets, Maires, Conseillers Généraux et Régionaux.

Dans la réalité la haute responsabilité de l'autorité coutumière s'est toujours illustrée par le respect du traité de paix signé depuis DEUX CENT TRENTE DEUX ANS. Les Grands Mans, et leur lieutenants, les Capitaines ont toujours maintenus les ethnies Saramacas , Paramacas, Aloukous, Bush, Bonis, Matawayens dans le respect les plus stricts de ces accords. Et ceci, il faut l'avouer malgré les bavures policières, les discriminations, la marginalisation, la stigmatisation, les répressions qu'ont subis leurs fidèles et protégés... Tout cela, par les hauts principes de l'honneur et du respect de la parole donnée inhérents aux lois coutumières négro-africaines dont ils sont les gardiens et les garants depuis plus de 300 ans .

En 1994 à quelques années de l'an 2000; il s'avère un constat négatif concernant la position des représentants de l'autorité française.

Le Préfet du Département de Guyane, sous-préfet de St Laurent Procureur de la république et les Tribunaux ne sont pas sensés ignorer:

-la Constitution française

-La Déclaration universelle des Droits de l'Homme

-la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, garantissant les libertés et la non-discrimination

-le Code de la nationalité en France

-le Code du travail

Mais dans les faits

Ces mêmes autorités foulent aux pieds comme un chiffon de papier les droits fondamentaux de nombreux originaires des populations du Maroni en Guyane Français dans les domaines suivants:

-Le droit à l'État Civil

-Le droit à la nationalité française,

-Le droit au logement décent,

-Le droit au travail,

-Les droits civique et politique (droit de vote)

-Les droits sociaux

-Les droits à la santé, à l'éducation et à la promotion sociale,

-Le droit à la sécurité des biens et des personnes.

La loi punit les délits de discrimination, de provocation, d'injures et de diffamation suscitées et entretenues par des personnes publiques, physiques ou privées.

C'est à dire que la loi concernant la non-discrimination en matière raciale stipule selon l'article 187-1.

( Sera puni d'un emprisonnement de deux mois à deux ans et d'une amende de 3000 F à 40 000 F, ou l'une de ces deux peines seulement, Tout dépositaire de l'autorité publique ou citoyen chargé d'un ministère public qui, a raison de l'origine d'une personne, de son sexe, de sa situation de famille, ou de son appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, lui aura refusé le sciemment le bénéfice d'un droit auquel elle pouvait prétendre.

Les mêmes peines sont applicables lorsque les faits auraient été commis à l'égard d'une association ou d'une société ou de leur membre à raison de l'origine, du sexe, de la situation de famille ou de l'appartenance de ces membres ou d'une partie d'entre eux à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée).

Ce droit n'est pas respecté en Guyane, ceci concerne des milliers de personnes. Une importante partie se trouve dans une situation précaire instable. Ces personnes se trouvent parquées dans des ghettos à ST Laurent et supportent des conditions de vie difficile. Cette situation d'attente de régularisation les entraîne dans des conditions d'hygiène et de salubrité déplorables pour la santé des enfants et des adultes qui y résident. Les épidémies sont à craindre en l'absence de dispositions sanitaires adaptées.

La situation des enfants est alarmante la scolarisation est inexistante pour certains, ils sont livrés à eux mêmes.

Les problèmes d'accès à la scolarité et à une formation sont nuisibles à ces personnes qui sont pour la plupart dans l'incapacité de défendre leurs droits de comprendre les réponses de l'administration à leurs demandes.

D'après la loi et les droits de l'Homme, on ne peut par action ou par omission, ni réprimer, ni exiger ni contraindre les populations nègres du Maroni à se "dénégrifier" ou à se désafricaniser. Si ceci s'avère être la condition sine qua non de porter assistance à ces personnes en danger; nous devrions dénoncer une telle pratique comme étant une grave atteinte au respect et à la dignité des peuples Bouchi ningué (Noirs marrons).

Que se passe t-il concernant leur droit de libre circulation dans leur région et dans les autres Départements français?

Et comment ? Les personnes originaires du Maroni " nées français" seraient-ils frappés d'une mesure d'interdiction de séjour en Martinique ou en Guadeloupe ?

L'Administration pense telle encore, maintenir entre ces populations un mur ou "un cordon sanitaire"; précisément parce qu'elles possèdent en commun une langue le Créole et peuvent encore faire fructifier bien des apports coutumiers, culturels et civilisationnels?

Nous savons comment cette langue commune a le privilège d'unir surtout la culture nègre entre les D.F.A.(Départements Français d'Amérique) des îles aux plateaux de Guyane jusqu'en Afrique.

D'Autant plus, cette même langue commune est parlée, tout aussi bien, par ces mêmes ethnies au Surinam, par les peuples St Luciens, Dominicains, Haïtiens; et aussi, la majorité, d'origine négro-africaine et Créole, des populations Martiniquaise et Guadeloupéenne, et ses autres composantes, Hindoustani, Chinoise, et métis qui constituent le puzzle populaire de ces pays.

Qu'en est-il concernant les vrais étrangers ( Surinamiens) en Guyane française?

Pourquoi d'une rive à l'autre de cet élément naturel qu'est le fleuve Marroni les personnes issues d'une même famille ont-elles des droits différents? Qu'en est-il de la circulation des Guyanais en territoire Surinamiens; font-ils l'objet de suspicion, de discrimination, d'arrestations intempestives non justifiées, de tyrannies et tracasseries administratives ? NON!

Pourquoi ne serait-il pas de même en Guyane pour les ethnies du fleuve? Pourquoi ne feraient-elles pas l'objet d'un respect de tous et surtout des autorités; par rapport à la population en regard de l'authenticité culturelle qu'ils ont su préserver à travers ces siècles? En réalité ces personnes à ST Laurent du Maroni, à Mana, ailleurs en Guyane, subissent les mêmes discriminations et le même racisme, en raison de leur appartenance ethnique et raciale.

Pour ces mobiles discriminatoires, sélectifs, voir racistes ces Noirs marrons du Surinam se voient très souvent refuser le bénéfice d'un droit que l'administration accorde volontiers aux immigrants Mhongs, aux Chinois et aux européens.

En Guyane, ces étrangers en particulier, et les Noirs du Maroni originaires du Surinam sont (tout ) désignés, comme responsable du chômage et de l'insécurité , trafiquants de drogue, délinquants et de tous les maux. Ils sont les cibles d'une politique sélective voir xénophobe et fasciste d'un autre âge... malheureusement actualisée à notre époque, qui, importée de l'hexagone, et d'Europe, tente de mettre à l'index et d'accuser les étrangers en période de récession, de crise économique, et de chômage. Ce qui provoque toujours des situations catastrophiques telles que, la répression, la division , la discrimination, et les conflits raciaux.Les immigrants en provenance (d'Haïti, de Chine et les Mhongs) ne subissent pas tout à fait le même sort réservé à ces noirs d'origine marrons en Guyane. C'est parce qu'ils ont en fait, leurs représentants à L'O.N.U. et des Ambassades où des consulats en France, en Europe et dans le monde . Et les papiers qu'ils obtiennent de l'État français seraient-ils LA MONNAIE d'ÉCHANGE ou la CAUTION d'accords conclus .... avec les puissances occidentales, pour des comptoirs et contrats commerciaux dans leur pays et qui touchent tous les domaines des activités multinationales internationales (automobiles, matières premières, Grandes Surfaces et aires de consommation des produits importés de France, d'Europe, des États Unis, du Japon... etc.). Nous ne sommes pas contre la régularisation des Haïtiens, des Chinois, et des réfugiés Mhongs et autres, bien au contraire . Nous voulons démontrer cette discrimination et ce consensus d'apartheid que les populations Noirs marrons ne sauraient supporter encore longtemps.

Qu'en est-il des faux étrangers? ( Vrais Français)

Les populations Guyanaises de la région du Maroni ne sont pas dupes. Depuis 1946 elles subissent une provocation et une situation d'exclusion. Elles savent que la régularisation officielle en Guyane des Chinois des Mhongs etc. est liée à la raison d'État . Ces étrangers acquièrent des droits (la nationalité et à la libre circulation,... etc. ) qui sont refusés à une majorité de leurs ethnies parmi les populations négro-africaines native en Guyane française. En effet lorsque des Étrangers régularisés, naturalisés peuvent circuler librement sur présentation de leur carte d'identité ou passeport français, lorsque d'autres Étrangers régularisés peuvent présenter leur carte de séjour pour vivre en Guyane et travailler, lorsqu'encore d'autres simplement de passage peuvent présenter leur passeport, les Noirs marrons natifs et originaires de Guyane française, sont sans papiers. Et la gendarmerie nationale reçoit l'ordre de les refouler et de dresser contre eux un barrage de l'apartheid au pont de IRAKOUBO . Ils savent comment s'y prend l'administration pour refuser de leur délivrer carte d'identité, passeport, acte et jugements déclaratifs de naissance pour les empêcher de se rendre librement dans les autres villes de la Guyane. Notre France de liberté d'égalité de fraternité, de la démocratie, des droits de l'Homme et de l'ingérence humanitaire maintient-telle encore en cette fin du 2O ième siècle UNE SORTE D'APARTHEID en sourdine? Quand bien même l'Afrique du Sud et ISRAËL SONT contraints à abolir les leurs, comment ces Guyanais victimes d'un consensus de l'apartheid sont empêchés d'avoir leurs papiers et de voyager librement en avion ou en bateau pour communiquer avec le monde? Il faut parler des faux étrangers ( des ethnies du Maroni français qui ont droit à la nationalité française mais dont la volonté administrative oblige à être des sans papiers à vie. De ce fait ils sont acculées à abandonner leur terre natale, leur foyer en terre française, leur lignage, pour obtenir au Surinam (pays étrangers) les papiers qui leur sont refusés par l'administration française dont ils ressortissent. Puis lorsque ces français veulent revenir sur leur terre natale ils se retrouvent pris au piège puisque devenus entre temps Surinamiens, lorsqu'ils ne sont pas traités comme des délinquants...Ils subissent au St Laurent, à Mana, à Kourou, à Cayenne et dans d'autres localités toutes sortes de discriminations, de marginalisation, de répression administrative, policière et militaire. Ils sont souvent victimes de bavures et d'assassinats, pourchassés dans la brousse il leur est interdit de construire ne serait qu'un cabanon d'abattis en feuille de palmier pour eux et leur famille... L' obsession de l'administration en Guyane française veut faire de tels citoyens nés français dans la réalité, des étrangers en puissance.Ils sont acculés par l'autorité du département à s'expatrier en quittant le territoire français, pour obtenir des papiers du Surinam. Le dispositif d'exclusion ayant fonctionné; ils seront traités en immigrés de seconde zone, lorsqu'ils reviendront chez eux, en Guyane française.

l'Administration refuse explicitement de leur délivrer:

-JUGEMENT DÉCLARATIF DE NAISSANCE EN GUYANE FRANÇAISE, ( papiers d'État Civil),

-LA NATIONALITÉ FRANÇAISE,

-LE PASSEPORT,

-LA CARTE DE SÉJOUR ,

-ET TOUS PAPIERS AUXQUELS ILS ONT DROIT EN FONCTION DE LEUR NAISSANCE EN GUYANE FRANÇAISE DE PARENT FRANÇAIS ( voir pétition ci-joint).

De nos jours les dirigeants de ces populations noires sentent qu'ils n'ont pas avancé depuis cet accord de 1762.

Les 8 et 9 AVRIL Mil Neuf Cent Quatre Vingt Quatorze ils viennent d'organiser à GRAND SANTI, un Congrès International des populations du Maroni à l'initiative du Grand Man JOHACHIN.

Sont désormais attentifs aux abus de l'administration en Guyane:

-La majorité des autres Grands Mans, leurs Capitaines , et leurs lieutenants

-les différentes ethnies : Saramacas, Paramacas, Aloukous, Bush, Bonis, Matawayens du côté Guyane française et du Surinam qui se sentent désormais solidaires plus que jamais d'un même destin.

Ne peuvent être laissées en l'état :

-la situation des personnes originaires du Marroni en Guyane Française:

-les discriminations

-le racisme,

-la marginalisation,

-l'exclusion,

-les atteintes au droits de l'Homme,

- les personnes dont on refuse la nationalité française,

-le traitement inacceptable réservé aux ressortissants du pays voisin le Surinam .

La Guyane étant un département français, auquel doit s'appliquer les lois de la République française :

-Nous nous élevons contre cette discrimination à l'égard des personnes et des populations de la région du Maroni en Guyane française

-Nous nous élevons également contre cette discrimination à l'égard des Surinamiens et plus particulièrement contre le traitement réservé aux Noirs marrons ( Surinamiens) qui ont des attaches profondes et familiales avec ceux qui sont originaires de la Guyane française.

Nous sommes fondés à entreprendre les actions suivantes:

-SOUTENIR LE CONGRES DE GRAND SANTI, LES GRANDS MANS, ET TOUTES LES ASSOCIATIONS NATIONALES ANTIRACISTES, ET AUTRES QUI LUTTENT POUR LA DÉFENSE DES DROITS DES POPULATIONS DU MARONI

-APPELER AU SOUTIEN LES INSTITUTIONS NATIONALES ET INTERNATIONALES SPÉCIALISÉES, - POLITIQUES, RELIGIEUSES ET JURIDIQUES

Nous vous demandons instamment de tout mettre en oeuvre pour que les lois de la République soient les mêmes sur tout le territoire et en l'occurrence dans les D.F.A.,

Le Congrès des Grands Mans du 8 au 9 Avril 1994 traduit la volonté d'unité entre toutes les populations originaires du Maroni côté Guyane française et du Surinam.

Dans la mesure où les autorités françaises prennent acte et maintiennent ces injustices flagrantes, ces atteintes multiples aux droits de l'homme et ces abus; elles affichent une volonté de mépris et de provocation envers ces personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, ou à une race.

Le maintien officiel d'une telle situation peu être un facteur de trouble de l'ordre public...

La responsabilité des autorités de l'État est engagée y compris celle du ministère public, des Préfets, Sous-Préfet, Maires, Procureurs et autres représentants de la République françaiseD' Autant plus que, l'absence à ce Congrès de GRAND SANTI d'une des plus haute autorité du département invité, Monsieur le Préfet représentant de la République française amène à se poser des questions sur l'intérêt de la France pour ces populations.

La représentation de l'État du Surinam étant elle sans conteste un Ministre et un Préfet ont fait le déplacement à cette occasion.

Pour toutes ces raisons nous demandons de rétablir sur tout le territoire de la Guyane française les droits des personnes et des populations, Noirs Marrons, tels que:

- Droit à l'État Civil ( Jugement Déclaratif de naissance)

-Droit à la nationalité française,

-Droits civiques et politiques ( droit de vote et d'exercice d'un mandat politique)

-Droit à la sécurité,

-Droit au logement,

-Droit au travail,

-Droits sociaux,

-Droit à la santé,

-Droit à l'éducation,

-Droit de ne pas être l'objet des arrestations sans motifs et justification.

-Droit à la libre circulation dans les D. F.A.

-Droit de disposer des papiers et justificatifs y compris pour les étrangers en situation régulière, de manière à ne pas être injustement inquiété.

-Droit à la propriété du foncier pour les populations de la région du Maroni en Guyane.

-Droit au respect de l'autorité coutumière dans son intégrité indivisible...

-Droit pour les peuples de la région du maroni, de libre exercice, d'expression et propagation de leur civilisation, culture et coutume pour l'unité négro-africaine .

Pour la défense des droits des personnes et des populations du Maroni en Guyane française, nous saisissons instamment toutes les instances compétentes de l'État français .

Nous mettons tout en oeuvre pour faire valoir ces droits et ce respect auprès des institutions nationales et internationales spécialisées, personnalités intellectuelles, politiques, religieuses, et juridiques.

Dans l'attente d'une réponse qui nous obligerait, nous vous prions d'accepter Monsieur, l'expression de nos salutations déférentes.

signatures

Association De Défense Des Droits Populations Du Maroni.

samedi 17 mai 2008

Pourquoi une liberté d'expression discriminative ?

La liberté l'égalité la fraternité ces valeurs seraient-elles restrictives lorsque les frères des îles s'expriment sur internet? Nous avons constaté que les articles véridiques de notre organisation dérangent a tel point que des mains se salissent sur le net pour effacer et ne pas publier l'expression des propos véridiques sur la réalité de la domestication domination d'une partie du peuple noir enfermé dans des carcans législatifs sur l'autel d'un état dominateur annihilant la naissance juridique et législative des entité nationales martiniquaise guadeloupéenne et guyanaise. ( ce démontré de manière empirique par des doctorants en droit éminents juristes ayant présenté leur thèse validé en UNIVERSITÉ FRANÇAISE). LA MACHINE LÉGIFÉRANT IRA TELLE JUSQU'À SE GRIPPER SOUS LE POIDS DES VÉRITÉS JURIDIQUES DES DOCTEURS QU 'ELLE PRODUIT...
Notre combat est-il aussi important que des mains foulant aux pieds l'humanité législative de nos peuples non européens mettent leurs dictât pour empêcher "google ou autre PRESTATAIRE INTERNET de nous publier sur le net"... Des mêmes voix qui accusent la Chine, Cuba, de censurer ou de contrôler internet pour faire obstruction.
Pourquoi différentes publications des frères des îles ont été effacées sur google et autres articles de l'organisation de Propagande des Frères des îles; point de vue sur Dieu Donné en IRAN" Enfant d'un même combat(opprimé par le même système de profiteur sur les plus faibles) soutenons le refus des palestiniens de reconnaître tous les colonialismes"???