lundi 28 juillet 2008

Positions sur l'Afro-centrisme & l'Egypto-centrisme

Organisation de Propagande Des Frères Des Iles :

Remédier aux maladies infantiles nées à l’extérieur de l’Afrique :

de l’afrocentrisme et de certaines de ses variantes egyptocentristes

Selon OPFI : L’ Organisation de Propagande Des Frères Des Iles il faudrait remédier aux maladies infantiles nées de l’africanisme à l’extérieur de l’Afrique surtout à l’heure de la cyber-prolifération qui pourrait ne profiter qu’à renforcer la stratégie de contrôle et de subversion contre les nations et peuples noirs et contre l’unité de parole et d’actions entre tous les peuples et nations opprimés. Les objectifs contre nature de la volonté hégémonique étant de contrecarrer leur mission à pouvoir rendre justice à la terre et à la création.

Les idéologies et les spiritualités ont à se poser les mêmes questions divinement économiques et stratégiques pour répondre positivement à la mission de l’homme sur terre. Pourquoi notre planète qui est prévue dans sa conception pour nourrir plus de 36 milliards d’êtres humains se trouve ainsi encore aujourd’hui avec environ 7 milliards d’âmes…

On ne peut s’engager en idéologies et ou spiritualités sans la motivation de répondre par une attitude responsable à cette question fondamentale pour déterminer nos projets utiles et taire toutes nos futiles et vaines querelles de clocher… Qu’il s’agisse de l’africanisme ou de « black power » il se doit partout et en tout moment se poser les mêmes questions tout en revenant aux fondamentaux pour éviter les errements et les équivoques. On ne peut se servir, non plus, de l’histoire et des faits marquants pour rouvrir les antagonismes surtout au suicide des Nations nègres ou des dominions pour qui on ne peut prétendre y construire Réel "'ETAT" sans le libérer des ses mensonges et ou ses oppressions internes et externes ...On ne peut en déclamations défendre le peuple noir et dans les faits oeuvrer en action à sa perte (...) en lui préparant tous genres d'hostilités viscéralement ancrées en nos for intérieur, à cause des influences néfastes*[1] héritées; ou en étant les amis de ceux qui mettent à jour (...) des guerres fratricides d'anéantissent des peuples et nations nègres. Ce vers quoi incitent tous ceux qui rusent à notre perte ... Ne serait-ce qu'en oeuvrant à fourvoyer au plan idéologique et spirituel les masses nègres en manipulant des symboles et des mythes pour les dresser, comme le veulent les impérialistes et sionistes, contre d'autres peuples amis et alliés du tiers-monde et détourner leur mission commune de rééquilibre national, régional et ou planétaire.

Certains de nos frères font-ils le bon choix de savoir: qui est notre ami qui est notre ennemi ??? Où font -ils volte face au réalisme de l'actuelle orientation politique des alliances et stratégies multipolaires inaugurées par Hugo Chavès du Vénézuéla, Evo Moales de Bolivie, de Correa du Pérou et autres.. (voir internet - blog :http//freresdesiles.blogspot.com )

On ne doit s'en servir de l’histoire et des faits marquants; que pour une bonne évaluation de nos correctifs et stratégies d’avancement dans la marche en avant de l’humanité et non de sa stagnation. Une responsabilité exigeant sagesse et sérénité et non pas uniquement réactions instinctuelles sous l’emprise d’états d’âmes mélanoïdiques… Nos identités non rien à voir avec les faiblesses réactionnaires, le racisme, la xénophobie et la fébrilité d’une conscience revancharde. La force ou la conscience de nos identités humaines s’élève toujours au dessus des fêlures, meurtrissures dont nos chairs furent atteintes. La force de nos identités impose la suprématie des consciences humaines nègres ou autres en dépit d’une mémoire des blessures et cicatrices imprimées dans nos corps. Nous avons une mission d’élévation humaine et non de déchéance ; de nous efforcer à neutraliser voire d'immuniser notre environnement des assauts et pulsions naturelles néfastes. Déparasiter nos consciences pour rester humain, nègre ou autre, n’a de cesse de neutraliser les assauts et pulsions naturelles libérés de notre âme bestiale.

Cheikh Anta Diop le sénégalais musulman auteur de « Nation nègres et cultures », comme Marcus Garvey Moise ou Malik El Shabaz Malcolm pour ceux qui sont fidèles à leur exégèse sauraient que « le Black power » :(Pourquoi pas? certains parlent de "péril jaune "d'autre de "pouvoir chinois"). Pouquoi pas de Pouvoir (power) des Nègres (Black) qui ne veulent plus être opprimés sur la Terre. Cette aspiration des opprimés (nègres, chinois, musulmans, et autres humains) loin d’être une imposture n’est pas une parodie de la vérité mais la consécration d’une prophétie émanant du divin et de ses envoyés : « les justes hériteront de la Terre » « les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers ». La légitime aspiration , comme il s'entend, en ce sens, du réel "Black power" (mouvement de la puissance noire): ne peut s'afficher comme une rébellion contre le divin et la ligne prophétique, mais leur accomplissement par l’allégeance aux valeurs de sagesse, de vérités de justice et de fraternité universelle y compris d’utile tolérance et d’actions. Il est équivoque de se réclamer de l'Afrique , et de prendre pour modèle Pharaon ou toute autre tyranie ; comme modèle ou posture pour combattre aujourd'hui: les nègres et ou africains musulmans, et autres ,c'est à dire l'Afrique; les arabes et tous les autres peuples unis en deçà de leurs conceptions de religions, dans le tiers monde et ailleurs, afin de présever la planète des prédateurs et de leur hégémonie Nord-Sud.

L'Organisation de Propagande des Frères des Iles se veut relativiser l'information formatée dans le système .Trop d'afro caribéens dont les consciences, même inconsciemment seraient encore sous l'influence occidentale*. Il en vient de l'information par exemple; ce que fabrique le système : ses moules, ses stratégies et ou centres de formatage de la pensée par l'éducation et la culture. Ces institutions ou directoire qui sont parvenus même à donner à certain voire à une majorité, entendez même leur vision « oxydent » occidentale de l'Afrique. Ce qui signifie que se sont autant de cerveaux tombés sous contrôle... Et c’est ainsi que certains viennent nous parler de l'Afrique pour ne prendre que cet exemple. Ils ne nous en parlent qu'en fonction de leurs sensibilités de leurs envies (voir sensibleries occidentales ou désirs partagés)... Telle une « maladie infantile » chronique envahissant l’africanisme… Où sont permis tous les essais noiristes des plus excentriques! Ceux là mêmes pour qui « Dieu est mort » emboîtent des stratégies de remplacement de sa souveraineté omnipotente par celle de leurs éphémères dictats intellectuels. Certains affichent plus ou moins une volonté morbide du refus de religieux mais s’évertuent à organiser dans le même temps leur projet "religieux". Leur ressenti d’un déséquilibre se manifeste en même tant qu’un besoin d’identification avec les masses nègres. A telle enseigne, certaines élites si éloignées des masses tenteront de se les concilier ; et seront acculées à s’introduire dans cette sphère spirituelle,bien qu'il s'agissait pour eux de prime abord un domaine de refoulement. Les spiritualités deviennent alors autant de prétextes pour toutes sortes de tentatives voire de et maladresses en vue de s’approprier tous les messages et les messagers sur le plan racial …Autant de schémas , singuliers ou réducteurs infirmant les postulats de la Spiritualité échappent à de telles contingences.

Derrière tout cela on devine les manipulateurs de la connaissance, les mêmes bailleurs de fonds des nouvelles croisades médiatiques et de l’information… Ceux qui ont conçu le Net suivant leur théorie de cyber –subversion, crurent-ils armer intellectuellement médiatiquement et idéologiquement. Allons nous croire vraiment qu’un tel déferlement de la profusion virtuelle ou médiatique parviendrait à supplanter ou occulter l’existence de la réalité africaine ou des peuples opprimés sous un nuage de fumée... Gare aux désillusions, surtout quel dommage pour tous ceux qui ne connaissent pas cette réalité africaine. Ils se laisseront fourvoyer pour combien de temps encore… Parce qu’ils sont éloignés physiquement de la vérité continentale ; de sa dimension réelle : démographique, historique, culturelle, religieuse. Comment certains veulent nous faire prendre pour l'Afrique tout entière une toute petite partie de l'Afrique programmée dans leurs neurones ?

Ce n’est pas une raison pour ne pas être objectif ou intellectuellement sérieux. Disons il n'est pas sérieux « africainement, nègrement, nationalistement » de nous parler que de l'Afrique qu'on préfère... Parce qu'on est chrétien ou pas, athée ou non, animiste vaudouisant ou non...Et alors le tour est joué lorsque l'on ne diffuse presque rien en histoire, en actualité, en culture ou en politique sur ceux d’une immense majorité des africains. Et comment ? Parce qu’on n’aime pas qu’une majorité de nègre et d’africains soient de confession musulmane ou islamique... Samory Touré, El Hadj Omar, Mohamed Lamine, Rabah, Abdel Kader Emir et autres combien de résistants ont fait le cauchemar des conquérant occidentaux de l’Afrique et dans une actualité mise à mal pour la coopération coloniale mise en Somalie, dans le Delta du Niger et du Nil, partout en Afrique de l’est ou de l’ouest autres lien de jonction avec l’Orient et l’Afrique Asie demeurées de toujours des contrées non soumises et rebelles à l’occidentalisation coloniale…

Le mot est lâché !!! On n’aime pas l’Egypte actuelle on préfère parler de l’antique…Phaaronique On n’aime pas l’Afrique du Nord actuelle on préfère celle des millénaires et pareil pour la Mésopotamie, les pays de Cham (Kamt) …On n’aime pas non plus « As Sudan » (Soudan actuel) etc. etc., jusqu’à épouser les thèses adverses des dominants, tout en se disant du camps des opprimés exploités… Là est le cœur des stratégies des centres de manipulations mondiales qui s’investissent énormément dans ce secteur…pour accroître la division afin de maintenir l’hégémonie des « premiers sur les derniers »… L’Africanisme de la diaspora et de l’intérieur devraient se dissocier de telles manipulations pour avancer vers l’unité dans la vérité et la paix. Pour ne pas alimenter le brasier de la haine et de la désinformation qui milite à notre division –défaite.

Pourquoi il est nécessaire de faire notre autocritique intellectuelle et politico historique ?

On ne parle pas vraiment de l'Afrique réelle (non mythique) est-ce pour l'occulter réellement à tous les fils et les filles de l'Afrique dans la diaspora? On ne parle jamais de cette Afrique là, dans la diaspora ou aux afro caribéens sans les traditionnels préjugés occidentaux, ou de chrétiens, ou d’athées, d'animistes. Et pour preuve nous restituons à propos, tous les préjugés. C'est à dire, ce que la voix et la conscience des maîtres occidentaux réussirent à imprégner de nos petits ou grands cerveaux ... Cela ramène donc à ne donner qu'une information sélective de l'Afrique et de ces leaders. On parle beaucoup des uns parce qu'ils sont chrétiens ou pas, athée ou non, animistes et ou vaudouisant ou non. Certains y vont jusqu'à la cécité démographique pour occulter qu'un important pourcentage ou équation de nacre et de peuples musulmans ou islamiques existent. Un phénomène sociétal et continental trop important qu'on en parle pas positivement dans la diaspora; là où l'occident et ces centres de manipulations ont mis à la tache et à l'oeuvre certains et de beaucoup de nos frères de tous les bords; afin de contribuer à négativer encore davantage la réelle connaissance caribéenne. Nous avons le devoir de dire l'Afrique comme elle est; et la restituer telle que l'Afrique est réellement. Sans l'inventer comme vous le voulez!!! L'Afrique n'a pas besoin d'être présentée selon telle ou telle orientation... Laissez nous donc fils et filles de la diaspora découvrir l'Afrique comme elle est et non comme vous la voulez parce que vous êtes chrétiens, athées, animistes ou autres... Laissez à chacun des afro caribéens découvrir en l’Afrique. Cette découverte sera toujours la nôtre parce qu'elle parlera en vous et en nous un même langage (Unité) qui n'a pas besoin comme interprètes des diviseurs. Consciemment où inconsciemment la graine de la division pourrait avoir germer en nous pour en être devenu agents diviseurs ... Sachez quoique l'on dise de l'Afrique de l'extérieur dans les capitales ou les dominions occidentaux; l'Afrique n'a pas besoin de nous si nous sommes aussi passionnés et intempestifs que certains de nos frères qui tout en se réclamant de l'Egypte, de Cheikh Anta Diop, de Malcolm X ou de Lumumba et autres; disent comme certains: "Si un noir ou un africain se converti à l'islam il n'est pas africain".Comment certains de nos frères noirs peuvent tenir de tels propos? L'Afrique les reconnaîtrait-elle lorsque son fondement n'est que sagesse, connaissance et pondération. Vivre l'Afrique de manière passionnée et intempestive ne veut pas dire connaître et ou être reconnue par l'Afrique. Beaucoup de ceux qui de cette manière recherchent l'Afrique prennent le risque et la responsabilité de ne pas la comprendre.

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  • Conclusions : En dernière analyse nous assistons à une déviance extrémiste de certaine tendance de l’afrocentrisme et de sa variante égyptocentriste lesquelles relèvent semble t-il ( des l’Intelligences services occidentaux ) ou des manœuvres subtiles de la division des centres impérialistes et sionisto-maçonniques de manipulations. Le but est de susciter la haine et division ( nèg cont nèg )entre nègres musulmans et nègres non musulmans, entre nègres et arabo musulmans. En dernière analyse un complot destructeur de l’Afrique et des africains sur un nuage de fumigène en direction de la diaspora aux Amériques, en Europe et en direction des peuples afro caribéens et des dernières colonies.
  • A qui et quoi profite la manipulation ?
  • - à ceux qui complotent de l’intérieur et de l’extérieur pour empêcher la victoire du mouvement de libération identitaire nègre et afro caribéen.
  • -le fait de susciter la haine ou la division est d’isoler le mouvement de la solidarité anti-impérialiste et antisioniste mondiale dont le centre s’est déplacé après le revers du communisme, dans le monde musulman et ou Afro-asiatique et dans les pays du Sus ou du tiers-monde. Un exemple typique du contraire de la politique de résistance multipolaire engagée par les anti impérialistes caribéens et sud américain Hugo Chavez, Evo Moales, Cuba et autres, en relation avec le monde musulman en lutte : la Palestine, L’Iran, la Syrie le Liban etc. (voir articles Internet frères des îles).
  • Les positions extrémistes des variantes egyptocentristes de certaines tendances africanistes sur l’islam, l’Afrique du nord, l’egypte mythiques , l’esclavage etc. ne sont que des rhétoriques prévues pour la dé crédibilisation du mouvement de libération identitaire , l’affaiblir jusqu’à la défaite par la privation des aides et soutiens vitaux de la majorité des pays africains musulmans et autres, et des reconnaissances , aides et solidarités des pays afro-asiatiques et soutiens étatiques et gouvernementaux.
  • -Cette position suicidaire est à l’encontre des intérêts fondamentaux du mouvement de libération des peuples noirs. Ces positions ne devraient en aucun cas être celles de leaders noirs conséquents le soucis de la responsabilité d’homme d’état, à l’instar de Mandela , Malcolm x, Martin Luther King, Marcus Garvey, Cheikh Anta Diop, Amilcar Cabral et d’autres leaders noirs résolus de mener à bien leur mouvement de libération en ne négligeant de remédier aux maux et maladies qui peuvent survenir des devances où des errements des éléments extrémistes de stabilisateurs ou provocateurs à l’origines des actions de parasitage à l’intérieur et à l’extérieur de tout mouvement.



  • [1] L'influence occidentale a des effets pernicieux; elle a pu s'implanter tel un chromosome. l'emprise de l'éducation culturelle et religieuse occidentale peut incruster dans l'inconscient "créolisation"(selon le docteur en droit D MONOTUKA) ou état de "colonisabilité"(selon Malek Ben NABY penseur musulman Algérien). Il s'agit chez le créolisé assimilé d'une ligne de pensée (idéologie inoculée par ceux -ci aux denières colonies afin de contribuer à domestiquer (intégrer) les Afrodescendants, au sevice de l'occident pour l'exploitation de leurs capacités intellectuelles et force de travail ). Ces éléments de conduite et de telles réactions vont se manifester à travers des choix et orientations chez les sujets atteints au sein du microcosme politique intellectuel ou religieux. A cet effet, l'on remarque bien des courbes, des similitudes dans les choix qui vont réunir dans une même communauté ou connivence de situations, de pensée, d'orientation et d'intérêts non différents, les uns et les autres. Les faits et le temps de l'observation confirmeront le constat; bien que apparemment certaines personnes affichent ou argumentent "une non dépendance" vis à vis de l'influence dominante occidentale. L'expérience eu égard l'observation peut nous démontrer combien "dans l'évolution des situations se découvre le vrai visage des hommes".

Solidarité multipolaire anti impérialiste Amériques& Monde islamique

CENTRE ISLAMOLOGIQUE AFRICAIN-CARIBEEN DE RECHERCHES ET DE LA PENSEE MUSULMANES E mail : freresdesiles@yahoo.fr TEL : 0696 82 27 38 « Peuples afro-caribéens et toutes composantes confessionnelles, laïques et ethniques unissez vous ! ».

AUTODÉTERMINATION EN RAPPORT AVEC ORTHODOXIE DES RELIGIONS CHRISTIANISME, L’ISLAM, LES ASPIRATIONS FONDAMENTALES DES PEUPLES.

AVANT 1916 , L’ISLAM A TOUJOURS ETE UN SYSTEME INDEPENDANT DU SYSTEME OCCIDENTAL ,DANS SA DYNAMIQUE ACTUELLE DE REINTEGRATION SYSTEMATIQUE ,ET DE RESISTANCE NE PREVOIT-IL PAS VIS-A VIS DES PEUPLES OPPRIMES DES CARAIBES LE SOUTIEN A LEUR AUTO DETERMINATION ?

L’islam conçoit et admet les évolutions des peuples opprimés qui passent par l’autodétermination. C’est là l’actuelle tangente conceptuelle de la réalité évènementielle auquel les peuples et nations caribéennes doivent poser solidement les pieds. Eu égard l’observatoire régional caribéen et sud-américain il est patent de faire constat des grands retours, des traditions populaires et religions qui font l’histoire des civilisations. Il ne va pas sans dire qu’à l’unissons du combat planétaire de l’islam, l’on remarque que l’anti-impérialisme des peuples réintègre désormais le divin et le sacré ou leurs traditions religieuses unitaires d’une résistance spirituelle, nature-culture, sociale et temporelle. Désormais de par leurs attaches traditionnelles des peuples naguère fractionnés, victimes des frontiérismes, divisés par la tierce culture dominante occidentale, emboîtent le sacré et du divin, à l’unisson de l’islam contre l’impérialisme. Le sacré ou le divin au cœur de l’anti-impérialisme vient en prévision, telle une alternative salutaire et libératrice, face à l’impasse des travers et des dangers du nationalisme ethno racial, né en occident, un contre modèle de plus en plus rejeté par les victimes du système. Avec les missionnaires et conquistadors occidentaux le nationalisme ethno racial de l’occident avait fait table rase de l’existant culturel, de la nature-culture chez les peuples et pays dominés. Epargné de tels travers,l’islam a toujours été un système indépendant en terre islamique, le comble c’est la triste expérience de la sortie contraignante à laquelle la oumma (communauté islamique internationale) a été acculée dès 1916 par les stratégies impérialistes occidentales et pro-occidentales de l’intérieur. Une sortie forcée de son orbite et à l’intégration forcée de systèmes étrangers ; d’où les convulsions planétaires pour la réintégration actuelle qui se vivent mondialement et dont opposants et partisans du changement ne peuvent se montrer indifférents. Pour ce qui diffère dans le cas spécifique, des caraïbes dans ses évolutions différentes de la réalité historique du monde islamique doté puis dépouillé, de son propre système islamique, culturel et ou institutionnel indépendant ; puis maintenant en voie de revendication, d’efforts tout azimut , en vue nécessairement de sa réintégration. Il ne va pas sans dire qu’il en est tout autrement des peuples caribéens qui n’ont pu avoir ni la liberté ni le pouvoir de finaliser la création et ou la conception de leur propre système indépendant de celui imposé par les colonisateurs ou impérialistes occidentaux. Mettons à part l’expérience ô combien salutaire et positive évolutive : cubaine, haïtienne, bolivarienne vénézuelienne, et les systèmes indiens bolivien ou d’ailleurs, des tribus incas et autres, etc. Il conviendrait de faire remarquer, que parallèlement toutes les convulsions et tentatives de résistance islamique à sortir du système occidental pour réintégrer leur propre système intéresse, dans notre réalité quotidienne et au plus haut point tous les pays anti-impérialistes latino-américains aspirant à se dédouaner de l’hégémonie occidentale et américaine ... Pour ne citer que Cuba de Fidel Castro, la Vénézuéla de Hugo Chaves, la Bolivie de Moales, le Brésil , les résistances haïtienne, guatémaltèque, colombiennes etc. etc.... Sans parler en Asie de la Coré du Nord et des résistances : multiformes, et muti-obédiences dans tout le reste du monde. De ce fait une solidarité objective lie implicitement et objectivement tous ceux des peuples aspirant à l’autodétermination et à se libérer du système occidental et ou du libéralisme. Et quelle aspiration légitime selon le positif raisonnement ! que des nations non européennes des caraïbes et de l’Amérique du Sud de s’inspirer de tous les anti-systèmes entrain de s’opposer par les résistances orientales et ou moyen-orientales face à l’occident. Et ce, pourquoi pas, dans une logique de pédagogie de sortie des impasses hégémoniques occidentales voire là où gangrènent les néo-colonialismes multiformes. De là les pays caribéens, sud-américains, de cette pédagogie anti-systémique vont pouvoir réinventer par eux et pour eux, et à leur niveau, un système différent de celui des SUPERPUISSANCES d’occident et de l’Amérique. Rejoignant le postulat de 1955 de BANDOUNG du non alignement en s’inscrivant dans une logique de solidarité basée sur une conception d’un « pluri vert » en remplacement d’un univers centré sur les politiques post-coloniales américaines et ou occidentales, anti-écologiques et contre la nature et l’humain. En ce sens, n’en déplaise à certaines subjectivités qui ne prennent pas l’habitude de l’intérêt supérieur de leurs peuples et nations mais qui gambergent dans un nombrilisme corporatiste pro occidental. Il est une affirmation qu’il doit exister des liens objectifs Sud sud, entre les peuples opprimés d’obédience islamique ou non islamique quels qu’ils soient. Il en convient comme la circulation naturelle des atomes de l’univers, que de tels liens constructeurs, une voie de la libération de l’oxygène de la vie humaine, et des peuples pour leur survie et développement. Ces liens des peuples transcendent les divisions que les Superbes et manipulateurs sous prétexte du christianisme et « de l’islam américain » et de d’autres idéologies veulent créer pour tenter de briser les stratégies communes des peuples censés s’opposer aux pôles d’injustices de la domination mondiale, en fomentant des querelles entre nations, religions, des méfiances, antagonismes, qui n’ont rien à voir avec ni l’essence, ni l’esprit, ni la lettre des textes divins sacrés et des messagers Jésus, Moïse, Mohamed (Paix sur eux).

C . I. A. C. R. P. M.

O.P.F.I. (Organisation de Propagande Des Frères des Iles). freresdesiles@yahoo.fr

ALLONS ENFANTS D’UN MEME COMBAT ! PEUPLES NOIRS ET AFRICAINS CARIBEENS MUSULMANS DE LA « NOUVELLE AFRIQUE » ! PREPARONS NOUS MENTALEMENT, IDEOLOGIQUEMENT ET STRUCTURELLEMENT AU REFUS COMME LE HAMAS DE RECONNAITRE TOUS LES COLONIALISMES ! PEUPLES NOIRS ET AFRICAINS CARIBEENS MUSULMANS PREPARONS D’UNE IDENTIFICATION DE LUTTE ANTI-IMPERIALISTE AVEC LA RESISTANCE ISLAMIQUE PALESTINIENNE ET LES RESISTANCES ISLAMIQUES ANTI-COLONIALISTES & ANTI-SIONISTES. PREPARONS LEGALEMENT À ORGANISER SUR NOS PROPRES BASES NOS MANIFESTATIONS DE SOUTIEN A LA PALESTINE EN MARTINIQUE ! UNIFIONS LES LUTTES AUTOUR DE LA JERUSALEM (QODS) ET DE LA FRATERNITE ABRAHAMIQUE ! De la même manière que certains mouvements dans l’orbite euro américaine tentent de saper les bases culturelles ou institutionnelles islamiques en Palestine en se réclamant d’une idéologie les rapprochant de la politique des colonialistes euro américains et israéliens au point de combattre les mouvements islamiques. De la même manière que de 1930 à nos jours certains éléments ont sapé de concert avec le colonialisme les bases de réintroduction de la culture nègre et des religions africaines ; dont l’islam victime du black out et du traitement colonial de l’administration de concert avec des éléments idéologiques identiques à ceux des détracteurs, sapeurs des bases culturelles ou institutionnelles islamiques en Palestine ; lesquels se réclament aux Antilles Guyane d’expression française de la même idéologie de ravalement négationniste sur les mêmes bases systémiques « dictatogènes » imposées de reconnaissance du colonialisme et de l’assimilation politique idéologique et juridique, culturelle occidentale ; relatifs aux options des éléments endogènes antillo-antillais sou traitants « d’un colonialisme tropical démocratique » rebaptisé assimilation, départements, décentralisation. Les faits en témoignent dès 1930. Les peuples noirs des caraïbes (Nouvelle Afrique) et les africains caribéens musulmans sont victimes des éléments du négationnisme et qui ont sapé la première pierre du libre exercice des droits fondamentaux, à travers la création aux Antilles Guyane dès 1930 des associations cultuelles et culturelles musulmanes qui devrait être le front baptismal d’une base légale de positionnement de l’existence d’une communauté musulmane et ipso facto des autres cultures, et religions africaines. Suivant le Code Noir avant 1848 : « Tous les nègres devraient changer de nom, étaient obligés sous peine de mort, de se convertir et baptiser dans la religion catholique apostolique romaine et baptiste »... Les lois successives ne sont pas une faveur mais d’un droit constitutionnel prescrit dans la législation. La république prescrit en effet des lois concernant la non-discrimination en matière raciale stipulant (selon l’article 187-1) « sera puni d’un emprisonnement de deux mois à deux ans et d’une amende de 3000 F à 40 000 F, ou d’une des deux peines seulement,Tout dépositaire de l’autorité publique ou citoyen chargé d’un ministère public qui a raison de l’origine d’une personne, de son sexe, de sa situation de famille, ou de son appartenance à une ethnie, une nation , une race ou à une religion déterminée, lui sera refusé sciemment le bénéfice d’un droit auquel elle pouvait prétendre ». S’agissant le cas d’espèce de la capacité normale et naturelle à réagir, d’un groupe ethnique, racial ou religieux ; à récuser ni d’accepter, voire de consentir à subir des pressions et avances d’une administration coloniale ou autre. Surtout lorsque ceci procède de l’arbitraire ou de l’illégalité par rapport aux institutions et aux lois édictées du fait de la ladite institution. Est-on censé ignorer ces droits et devoirs dans un pays et une population d’accueil ? Pour l’immigration en Europe et dans d’autres terres d’immigrations l’attitude sera positive et objective pour faire respecter les droits et devoirs au niveau des communautés ! D’autres immigrations, elles, ont assumé leur droit et devoir en Europe, dans les îles de l’océan indien contrairement aux immigrations de 1930 dans les D.F.A. (Départements Français d’Amérique). Elles ont fait preuve de jugement indépendant et de responsabilité bénéficiant, d’une législation relative à la liberté cultuelle et culturelle inscrites dans les lois de juillet 1901 et 1905 concernant les associations légales ; relatives aux libertés confessionnelles et associatives ; aux droits de l’homme et du citoyen. Ce faisant au détriment des colonialistes et sionistes , la religion musulmane diffusée dès 1930 aux Antilles Guyane devraient être comme en France d’aujourd’hui la deuxième religion à la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane. Le refus de l’administration française serait un fâcheux précédent déstabilisateur et décrédibilisant pour la France. D’une part au regard de sa diplomatie internationale ; d’autre part en face de la montée en France et en Europe de la contestation ouvrière, des mouvements politiques et des droits de l’homme. En 1930 les échos d’une quelconque oppression des communautés d’immigrants jordano-palestiniennes aux Antilles Guyane aurait suscité une mobilisation en France et à l’étranger pour attirer l’attention de l’opinion européenne, mondiale et celles des musulmans et de tout le tiers-monde en lutte contre le colonialisme et le fascisme. De tels échos auraient profité, certes aux populations africaines exploitées des caraïbes ; afin de protester et de condamner l’acculturation raciste dont elles sont victimes aux colonies... En 1930 l’édifice colonial en serait fissuré par la conscience de contestation populaire fraîchement encore imprégnée des schèmes et exemples de rébellion du marronnage. Les ondes du mouvement de 1848 étant encore en résonance dans les consciences des populations noires majoritaires toutes fraîchement sorties de l’esclavage. Surtout dans une conjoncture que ne pourrait qu’amplifier le mouvement ouvrier venu de France et de l’Europe. Les référents culturels et des idéologies nourries par le mouvement ouvrier venu de l’occident n’auraient qu’à se conjuguer pour la contestation contre le système colonial, renforcée par l’atavisme culturel d’une population noire fraîchement détachée de l’Afrique des cultures et des religions de ses ancêtres, dont leur Religion musulmane. Par conséquent, la fibre religieuse des populations exploitées et déracinées amèneraient nombre d’entre elles ; à retrouver dans leur reconversion à l’islam à partir de 1930 toutes les raisons de détester l’asservissement et l’exploitation assimilationniste et les combattre comme l’exige la religion musulmane et ses préceptes théologiques et traditions prophétiques et africaines. C’est la raison pour laquelle les minorités de dominations juives à la base du système esclavagiste et colonial aux Caraïbes, dénoncées par FEU Pierre DAVIDAS (dans, Ce que je dis du sionisme) ont organisé de concertation, un black out ; non seulement sur la Religion musulmane religion des ancêtres, mais sur la législation garantissant un droit constitutionnel d’associations cultuelles et culturelles. Ce non seulement, un black out dans leurs logiques de marchandages ; mais parce revenu d’Espagne depuis 1492 avec les « conquistadors » ; les colons connaissant les musulmans, ceux qu’ils appellent les mahométans. Eux et les autres colons français et européens connaissaient la capacité des adeptes musulmans à refuser la métamorphose de l’assimilation judéo-chrétienne et l’exploitation coloniale destinée vers les processus prévu de 1946 à nos jours de la « colonisation démocratique » ; départementalisation, décentralisation, européanisation. La mort culturelle par acculturation « zombification » des noirs africains aux Caraïbes. C’est la raison pour laquelle le traitement colonial utilise des référents religieux étrangers sous traitants soumis un régime « particulier » contractuel et un droit de réserve depuis 1974 aux dernières colonies.

O.P.F.I. (Organisation de Propagande Des Frères des Iles). 7 -01-06

vendredi 20 juin 2008

mercredi 21 mai 2008

ENQUETE SUR SITUATION D'APARTHEID EN GUYANE DITE FRANCAISE

ENQUETE SUR SITUATION D'APARTHEID EN GUYANE DITE FRANCAISE

Guyane le 8 Juin 1995

Objet: Requête nationale et internationale en faveur des droits et de la non-discrimination des personnes originaires de la région du Maroni en Guyane française

Approuvée et rédigée en date du 22 Avril 1994, en l'Assemblée Générale par "WI-ALAWANI"(Association Assistance Humanitaire Et De Défense Des Droits Des Populations Du Maroni ) , la présente requête a pour but de défendre les intérêts des ces populations, tels que leurs droits fondamentaux, fonciers, sociaux , culturels et civilisationnels et lutter contre la discrimination.

Ceci fait suite au Congrès du 8 au 9 avril 1994, publié par les médias français et internationaux, ayant regroupé les Grands Mans, les ethnies négro-africaines amérindiennes des deux côtés du fleuve, en présence d'un Ministre et d'un Préfet surinamien mais en l'absence regrettable du Préfet français.

HISTORIQUE

Depuis L'institution de la traite des nègres, les peuples noirs déportés en Guyane se sont révoltés en Amérique du Sud, en Guyane. Ils ont constitué

l'une des premières institution politique, culturelle et civilisationnelle par l'organisation coutumière qu'ils ont pu mettre en place dans la forêt amazonienne, village, communes... (côté Guyane française) y compris du côté du Surinam. Depuis l'indépendance, ils possèdent d'ailleurs des députés et un préfet pour les représenter.

Dès 1762 ils mettent fin à une lutte avec les puissances coloniales et notamment la France en signant un traité de paix qui leur a valu un espace de liberté territorial qu'ils occupent en l'occurrence à Apatou et la région du Marroni.

SITUATION ACTUELLE

Aujourd'hui on les juge minoritaires mais en réalité les populations des deux côté du Maroni y compris l'émigration en Hollande dépassent les 155. 000 âmes...

Dans le cadre de la République française, leur communauté a été réorganisée et ils ont constitué une hiérarchie coutumière ( Grand Man, Capitaine, Bachya etc.) garant de la paix ou du controle au sein peuples Noirs Marrons. L'autorité coutumière est reconnue par les autorités françaises et ses représentants : Préfets, Maires, Conseillers Généraux et Régionaux.

Dans la réalité la haute responsabilité de l'autorité coutumière s'est toujours illustrée par le respect du traité de paix signé depuis DEUX CENT TRENTE DEUX ANS. Les Grands Mans, et leur lieutenants, les Capitaines ont toujours maintenus les ethnies Saramacas , Paramacas, Aloukous, Bush, Bonis, Matawayens dans le respect les plus stricts de ces accords. Et ceci, il faut l'avouer malgré les bavures policières, les discriminations, la marginalisation, la stigmatisation, les répressions qu'ont subis leurs fidèles et protégés... Tout cela, par les hauts principes de l'honneur et du respect de la parole donnée inhérents aux lois coutumières négro-africaines dont ils sont les gardiens et les garants depuis plus de 300 ans .

En 1994 à quelques années de l'an 2000; il s'avère un constat négatif concernant la position des représentants de l'autorité française.

Le Préfet du Département de Guyane, sous-préfet de St Laurent Procureur de la république et les Tribunaux ne sont pas sensés ignorer:

-la Constitution française

-La Déclaration universelle des Droits de l'Homme

-la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, garantissant les libertés et la non-discrimination

-le Code de la nationalité en France

-le Code du travail

Mais dans les faits

Ces mêmes autorités foulent aux pieds comme un chiffon de papier les droits fondamentaux de nombreux originaires des populations du Maroni en Guyane Français dans les domaines suivants:

-Le droit à l'État Civil

-Le droit à la nationalité française,

-Le droit au logement décent,

-Le droit au travail,

-Les droits civique et politique (droit de vote)

-Les droits sociaux

-Les droits à la santé, à l'éducation et à la promotion sociale,

-Le droit à la sécurité des biens et des personnes.

La loi punit les délits de discrimination, de provocation, d'injures et de diffamation suscitées et entretenues par des personnes publiques, physiques ou privées.

C'est à dire que la loi concernant la non-discrimination en matière raciale stipule selon l'article 187-1.

( Sera puni d'un emprisonnement de deux mois à deux ans et d'une amende de 3000 F à 40 000 F, ou l'une de ces deux peines seulement, Tout dépositaire de l'autorité publique ou citoyen chargé d'un ministère public qui, a raison de l'origine d'une personne, de son sexe, de sa situation de famille, ou de son appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, lui aura refusé le sciemment le bénéfice d'un droit auquel elle pouvait prétendre.

Les mêmes peines sont applicables lorsque les faits auraient été commis à l'égard d'une association ou d'une société ou de leur membre à raison de l'origine, du sexe, de la situation de famille ou de l'appartenance de ces membres ou d'une partie d'entre eux à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée).

Ce droit n'est pas respecté en Guyane, ceci concerne des milliers de personnes. Une importante partie se trouve dans une situation précaire instable. Ces personnes se trouvent parquées dans des ghettos à ST Laurent et supportent des conditions de vie difficile. Cette situation d'attente de régularisation les entraîne dans des conditions d'hygiène et de salubrité déplorables pour la santé des enfants et des adultes qui y résident. Les épidémies sont à craindre en l'absence de dispositions sanitaires adaptées.

La situation des enfants est alarmante la scolarisation est inexistante pour certains, ils sont livrés à eux mêmes.

Les problèmes d'accès à la scolarité et à une formation sont nuisibles à ces personnes qui sont pour la plupart dans l'incapacité de défendre leurs droits de comprendre les réponses de l'administration à leurs demandes.

D'après la loi et les droits de l'Homme, on ne peut par action ou par omission, ni réprimer, ni exiger ni contraindre les populations nègres du Maroni à se "dénégrifier" ou à se désafricaniser. Si ceci s'avère être la condition sine qua non de porter assistance à ces personnes en danger; nous devrions dénoncer une telle pratique comme étant une grave atteinte au respect et à la dignité des peuples Bouchi ningué (Noirs marrons).

Que se passe t-il concernant leur droit de libre circulation dans leur région et dans les autres Départements français?

Et comment ? Les personnes originaires du Maroni " nées français" seraient-ils frappés d'une mesure d'interdiction de séjour en Martinique ou en Guadeloupe ?

L'Administration pense telle encore, maintenir entre ces populations un mur ou "un cordon sanitaire"; précisément parce qu'elles possèdent en commun une langue le Créole et peuvent encore faire fructifier bien des apports coutumiers, culturels et civilisationnels?

Nous savons comment cette langue commune a le privilège d'unir surtout la culture nègre entre les D.F.A.(Départements Français d'Amérique) des îles aux plateaux de Guyane jusqu'en Afrique.

D'Autant plus, cette même langue commune est parlée, tout aussi bien, par ces mêmes ethnies au Surinam, par les peuples St Luciens, Dominicains, Haïtiens; et aussi, la majorité, d'origine négro-africaine et Créole, des populations Martiniquaise et Guadeloupéenne, et ses autres composantes, Hindoustani, Chinoise, et métis qui constituent le puzzle populaire de ces pays.

Qu'en est-il concernant les vrais étrangers ( Surinamiens) en Guyane française?

Pourquoi d'une rive à l'autre de cet élément naturel qu'est le fleuve Marroni les personnes issues d'une même famille ont-elles des droits différents? Qu'en est-il de la circulation des Guyanais en territoire Surinamiens; font-ils l'objet de suspicion, de discrimination, d'arrestations intempestives non justifiées, de tyrannies et tracasseries administratives ? NON!

Pourquoi ne serait-il pas de même en Guyane pour les ethnies du fleuve? Pourquoi ne feraient-elles pas l'objet d'un respect de tous et surtout des autorités; par rapport à la population en regard de l'authenticité culturelle qu'ils ont su préserver à travers ces siècles? En réalité ces personnes à ST Laurent du Maroni, à Mana, ailleurs en Guyane, subissent les mêmes discriminations et le même racisme, en raison de leur appartenance ethnique et raciale.

Pour ces mobiles discriminatoires, sélectifs, voir racistes ces Noirs marrons du Surinam se voient très souvent refuser le bénéfice d'un droit que l'administration accorde volontiers aux immigrants Mhongs, aux Chinois et aux européens.

En Guyane, ces étrangers en particulier, et les Noirs du Maroni originaires du Surinam sont (tout ) désignés, comme responsable du chômage et de l'insécurité , trafiquants de drogue, délinquants et de tous les maux. Ils sont les cibles d'une politique sélective voir xénophobe et fasciste d'un autre âge... malheureusement actualisée à notre époque, qui, importée de l'hexagone, et d'Europe, tente de mettre à l'index et d'accuser les étrangers en période de récession, de crise économique, et de chômage. Ce qui provoque toujours des situations catastrophiques telles que, la répression, la division , la discrimination, et les conflits raciaux.Les immigrants en provenance (d'Haïti, de Chine et les Mhongs) ne subissent pas tout à fait le même sort réservé à ces noirs d'origine marrons en Guyane. C'est parce qu'ils ont en fait, leurs représentants à L'O.N.U. et des Ambassades où des consulats en France, en Europe et dans le monde . Et les papiers qu'ils obtiennent de l'État français seraient-ils LA MONNAIE d'ÉCHANGE ou la CAUTION d'accords conclus .... avec les puissances occidentales, pour des comptoirs et contrats commerciaux dans leur pays et qui touchent tous les domaines des activités multinationales internationales (automobiles, matières premières, Grandes Surfaces et aires de consommation des produits importés de France, d'Europe, des États Unis, du Japon... etc.). Nous ne sommes pas contre la régularisation des Haïtiens, des Chinois, et des réfugiés Mhongs et autres, bien au contraire . Nous voulons démontrer cette discrimination et ce consensus d'apartheid que les populations Noirs marrons ne sauraient supporter encore longtemps.

Qu'en est-il des faux étrangers? ( Vrais Français)

Les populations Guyanaises de la région du Maroni ne sont pas dupes. Depuis 1946 elles subissent une provocation et une situation d'exclusion. Elles savent que la régularisation officielle en Guyane des Chinois des Mhongs etc. est liée à la raison d'État . Ces étrangers acquièrent des droits (la nationalité et à la libre circulation,... etc. ) qui sont refusés à une majorité de leurs ethnies parmi les populations négro-africaines native en Guyane française. En effet lorsque des Étrangers régularisés, naturalisés peuvent circuler librement sur présentation de leur carte d'identité ou passeport français, lorsque d'autres Étrangers régularisés peuvent présenter leur carte de séjour pour vivre en Guyane et travailler, lorsqu'encore d'autres simplement de passage peuvent présenter leur passeport, les Noirs marrons natifs et originaires de Guyane française, sont sans papiers. Et la gendarmerie nationale reçoit l'ordre de les refouler et de dresser contre eux un barrage de l'apartheid au pont de IRAKOUBO . Ils savent comment s'y prend l'administration pour refuser de leur délivrer carte d'identité, passeport, acte et jugements déclaratifs de naissance pour les empêcher de se rendre librement dans les autres villes de la Guyane. Notre France de liberté d'égalité de fraternité, de la démocratie, des droits de l'Homme et de l'ingérence humanitaire maintient-telle encore en cette fin du 2O ième siècle UNE SORTE D'APARTHEID en sourdine? Quand bien même l'Afrique du Sud et ISRAËL SONT contraints à abolir les leurs, comment ces Guyanais victimes d'un consensus de l'apartheid sont empêchés d'avoir leurs papiers et de voyager librement en avion ou en bateau pour communiquer avec le monde? Il faut parler des faux étrangers ( des ethnies du Maroni français qui ont droit à la nationalité française mais dont la volonté administrative oblige à être des sans papiers à vie. De ce fait ils sont acculées à abandonner leur terre natale, leur foyer en terre française, leur lignage, pour obtenir au Surinam (pays étrangers) les papiers qui leur sont refusés par l'administration française dont ils ressortissent. Puis lorsque ces français veulent revenir sur leur terre natale ils se retrouvent pris au piège puisque devenus entre temps Surinamiens, lorsqu'ils ne sont pas traités comme des délinquants...Ils subissent au St Laurent, à Mana, à Kourou, à Cayenne et dans d'autres localités toutes sortes de discriminations, de marginalisation, de répression administrative, policière et militaire. Ils sont souvent victimes de bavures et d'assassinats, pourchassés dans la brousse il leur est interdit de construire ne serait qu'un cabanon d'abattis en feuille de palmier pour eux et leur famille... L' obsession de l'administration en Guyane française veut faire de tels citoyens nés français dans la réalité, des étrangers en puissance.Ils sont acculés par l'autorité du département à s'expatrier en quittant le territoire français, pour obtenir des papiers du Surinam. Le dispositif d'exclusion ayant fonctionné; ils seront traités en immigrés de seconde zone, lorsqu'ils reviendront chez eux, en Guyane française.

l'Administration refuse explicitement de leur délivrer:

-JUGEMENT DÉCLARATIF DE NAISSANCE EN GUYANE FRANÇAISE, ( papiers d'État Civil),

-LA NATIONALITÉ FRANÇAISE,

-LE PASSEPORT,

-LA CARTE DE SÉJOUR ,

-ET TOUS PAPIERS AUXQUELS ILS ONT DROIT EN FONCTION DE LEUR NAISSANCE EN GUYANE FRANÇAISE DE PARENT FRANÇAIS ( voir pétition ci-joint).

De nos jours les dirigeants de ces populations noires sentent qu'ils n'ont pas avancé depuis cet accord de 1762.

Les 8 et 9 AVRIL Mil Neuf Cent Quatre Vingt Quatorze ils viennent d'organiser à GRAND SANTI, un Congrès International des populations du Maroni à l'initiative du Grand Man JOHACHIN.

Sont désormais attentifs aux abus de l'administration en Guyane:

-La majorité des autres Grands Mans, leurs Capitaines , et leurs lieutenants

-les différentes ethnies : Saramacas, Paramacas, Aloukous, Bush, Bonis, Matawayens du côté Guyane française et du Surinam qui se sentent désormais solidaires plus que jamais d'un même destin.

Ne peuvent être laissées en l'état :

-la situation des personnes originaires du Marroni en Guyane Française:

-les discriminations

-le racisme,

-la marginalisation,

-l'exclusion,

-les atteintes au droits de l'Homme,

- les personnes dont on refuse la nationalité française,

-le traitement inacceptable réservé aux ressortissants du pays voisin le Surinam .

La Guyane étant un département français, auquel doit s'appliquer les lois de la République française :

-Nous nous élevons contre cette discrimination à l'égard des personnes et des populations de la région du Maroni en Guyane française

-Nous nous élevons également contre cette discrimination à l'égard des Surinamiens et plus particulièrement contre le traitement réservé aux Noirs marrons ( Surinamiens) qui ont des attaches profondes et familiales avec ceux qui sont originaires de la Guyane française.

Nous sommes fondés à entreprendre les actions suivantes:

-SOUTENIR LE CONGRES DE GRAND SANTI, LES GRANDS MANS, ET TOUTES LES ASSOCIATIONS NATIONALES ANTIRACISTES, ET AUTRES QUI LUTTENT POUR LA DÉFENSE DES DROITS DES POPULATIONS DU MARONI

-APPELER AU SOUTIEN LES INSTITUTIONS NATIONALES ET INTERNATIONALES SPÉCIALISÉES, - POLITIQUES, RELIGIEUSES ET JURIDIQUES

Nous vous demandons instamment de tout mettre en oeuvre pour que les lois de la République soient les mêmes sur tout le territoire et en l'occurrence dans les D.F.A.,

Le Congrès des Grands Mans du 8 au 9 Avril 1994 traduit la volonté d'unité entre toutes les populations originaires du Maroni côté Guyane française et du Surinam.

Dans la mesure où les autorités françaises prennent acte et maintiennent ces injustices flagrantes, ces atteintes multiples aux droits de l'homme et ces abus; elles affichent une volonté de mépris et de provocation envers ces personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, ou à une race.

Le maintien officiel d'une telle situation peu être un facteur de trouble de l'ordre public...

La responsabilité des autorités de l'État est engagée y compris celle du ministère public, des Préfets, Sous-Préfet, Maires, Procureurs et autres représentants de la République françaiseD' Autant plus que, l'absence à ce Congrès de GRAND SANTI d'une des plus haute autorité du département invité, Monsieur le Préfet représentant de la République française amène à se poser des questions sur l'intérêt de la France pour ces populations.

La représentation de l'État du Surinam étant elle sans conteste un Ministre et un Préfet ont fait le déplacement à cette occasion.

Pour toutes ces raisons nous demandons de rétablir sur tout le territoire de la Guyane française les droits des personnes et des populations, Noirs Marrons, tels que:

- Droit à l'État Civil ( Jugement Déclaratif de naissance)

-Droit à la nationalité française,

-Droits civiques et politiques ( droit de vote et d'exercice d'un mandat politique)

-Droit à la sécurité,

-Droit au logement,

-Droit au travail,

-Droits sociaux,

-Droit à la santé,

-Droit à l'éducation,

-Droit de ne pas être l'objet des arrestations sans motifs et justification.

-Droit à la libre circulation dans les D. F.A.

-Droit de disposer des papiers et justificatifs y compris pour les étrangers en situation régulière, de manière à ne pas être injustement inquiété.

-Droit à la propriété du foncier pour les populations de la région du Maroni en Guyane.

-Droit au respect de l'autorité coutumière dans son intégrité indivisible...

-Droit pour les peuples de la région du maroni, de libre exercice, d'expression et propagation de leur civilisation, culture et coutume pour l'unité négro-africaine .

Pour la défense des droits des personnes et des populations du Maroni en Guyane française, nous saisissons instamment toutes les instances compétentes de l'État français .

Nous mettons tout en oeuvre pour faire valoir ces droits et ce respect auprès des institutions nationales et internationales spécialisées, personnalités intellectuelles, politiques, religieuses, et juridiques.

Dans l'attente d'une réponse qui nous obligerait, nous vous prions d'accepter Monsieur, l'expression de nos salutations déférentes.

signatures

Association De Défense Des Droits Populations Du Maroni.

samedi 17 mai 2008

Pourquoi une liberté d'expression discriminative ?

La liberté l'égalité la fraternité ces valeurs seraient-elles restrictives lorsque les frères des îles s'expriment sur internet? Nous avons constaté que les articles véridiques de notre organisation dérangent a tel point que des mains se salissent sur le net pour effacer et ne pas publier l'expression des propos véridiques sur la réalité de la domestication domination d'une partie du peuple noir enfermé dans des carcans législatifs sur l'autel d'un état dominateur annihilant la naissance juridique et législative des entité nationales martiniquaise guadeloupéenne et guyanaise. ( ce démontré de manière empirique par des doctorants en droit éminents juristes ayant présenté leur thèse validé en UNIVERSITÉ FRANÇAISE). LA MACHINE LÉGIFÉRANT IRA TELLE JUSQU'À SE GRIPPER SOUS LE POIDS DES VÉRITÉS JURIDIQUES DES DOCTEURS QU 'ELLE PRODUIT...
Notre combat est-il aussi important que des mains foulant aux pieds l'humanité législative de nos peuples non européens mettent leurs dictât pour empêcher "google ou autre PRESTATAIRE INTERNET de nous publier sur le net"... Des mêmes voix qui accusent la Chine, Cuba, de censurer ou de contrôler internet pour faire obstruction.
Pourquoi différentes publications des frères des îles ont été effacées sur google et autres articles de l'organisation de Propagande des Frères des îles; point de vue sur Dieu Donné en IRAN" Enfant d'un même combat(opprimé par le même système de profiteur sur les plus faibles) soutenons le refus des palestiniens de reconnaître tous les colonialismes"???

jeudi 17 avril 2008

Domestication idéologique coloniale








UN ESPOIR POUR LES MILLIONS D’AFRICAINS EXPORTES AUX CARAIBES ET PEUPLES ET NATIONS " CREOLISES"
Signification d'un système... "Créolisé" veut dire à l'attention des Nègres: ETRE DOMESTIQUES EXPLOITES ET DOMINES (voir oeuvre Dominique Monotuka Docteur en Droit).




* LIRE :Les Notions De Spécificité et D'Egalité Juridiques L'Exemple De La Martinique A Travers La Protection Sociale, Le régime assimilation/adaptation affecté aux D.O.M. depuis 1946 est inconstitutionnel , Les Editions MWEN, 2003 , 29, rue de la ravine, Ermitage 97200 Fort de France Martinique).
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POINT DE VUE DE L'O.P.F.I. ( L'Organisation De Propagande Des Frères Des Iles)

C’est sur le pari de l’ignorance de la majorité nègre de ses vrais valeurs et prérogatives que toutes les autres minorités peuvent les dominer et asseoir sur eux leur pouvoir ne serait-ce qu’en les utilisant à leur propre désintérêt.

Le spectre d’une nouvelle Afrique dans la diaspora africaine aux caraïbes et en Amérique a de toujours effrayé les dominateurs occidentaux.

A travers ce système deshumanisant le créolitisme systémique n’existe que pour une mission de domestication négrière, les vider de leur force (culturelle et politique et économique), de leur puissance unitaire et de leur pouvoir, au profit des pouvoirs et sous pouvoirs blancs ; telle est le rôle confié par les racistes et les esclavagiste à la créolité.
Les sous pouvoirs blancs eux, relaient la division, car profitant des dividendes de l’arrangement du système et de son microcosme politique qui consacrent les minorités de dominations par et pour le pouvoir et l’argent, base de son fonctionnement.
Cette créolité maintient un dictât sur l’imaginaire au plan psyco-matériel . Comme grille de "sociabilité ou de prospérité ..."elle impose les antivaleurs occidentales comme gage du socialement ou politiquement correcte. Par un système de garde -fou la prohibition des valeurs fonctionne comme l’arme de dissuasion de se ré approprier de son humanité nègre ; sous peine de mort sociale, de faillite situationnelle, de disgrâce, et encore pire…Ainsi se maintiennent les normes du système, sa pérennisation, sa société, sa politique ne peuvent se maintenir sans la créolité qui brandit sur l’imaginaire de la majorité nègres, cette épée de Damoclès ; l’épée rouillée de l’ancien colonialisme et du nouveau colonialisme.
Aujourd'hui comme jadis, l’orsqu’on empêche aux frères des îles , aux nègres dans les dernières colonies de se réapprorier de leur noms d’origine occultés par le code noir, et par le calendrier occidental, pour se purifier des souillures de l’esclavagisme à l’instar des noirs afro-américains, et ou africain-américains ; c’est de racisme et d’apartheid qu’il s’agisse et non de mairies, d’états civils, de législation, où « d’ églises ».. Exception pour les églises orthodoxes éthiopiennes et les mosquées en Afrique et de par le monde où de tout temps les nègres savent que leur sagesse humaine ne les place en dessous ni d’un blanc ni d’un jaune , ni d’un autre ; mais à humanité égale et d’une similaire « luminence adamique ».
Pourquoi trangiger par rapport à ce qu'on est?en somme de notre existence d’africain caribéens »… « africain martiniquais » « africain guadeloupéen » africain guyanais »
Des stratégies racistes et d’apartheid seront donc démasquées scientifiquement sous l’autorité des ouvrages : « LES NOTIONS DE SPECIFICITE ET D’EGALITE JURIDIQUES ; L’EXEMPLE DE LA MARTINIQUE A TRAVERS LA PROTECTION SOCIALE Le régime assimilation /adaptation affecté aux D.O.M. depuis 1946 » (Dominique Monotuka, docteur en droit publié aux Editions MWEN) et du même auteur « Un Essai du même auteur : « NE M’APPELEZ PAS CREOLE » (voir ci-dessus)
Tous ces ouvrages mettent en évidence les milles et unes d’intrigues d’un pouvoir blanc et ses affiliations tropicales Antilles Guyane et hexagonales. ( Voir Dialogues Politiques Discours de la Révolution Culturelle Editeur (O.P.F.I.)
Politique de l'Afrophobie les raisons ?
Cette créolité a mission d’écarter voir de différer aux calendes grecques depuis toujours, l’avènement du pouvoir de la majorité des noirs dans tous les domaines, cette majorité d’HOMMES est confrontée l’afro phobie : une logique de substitution génocidaire, de savantisme dans le racisme et la négation de l’humanité de l’autre par des experts dans les strates des classes au pouvoir et des sous traitants spécialisés pour écarter les peuples noirs au pouvoir y compris par le détournement de leur conscience spirituelle de leurs civilisations millénaristes et prophétiques.
Des experts et spécialistes sous traitant prévoient pour les nègres leur concept leur vision et définition afin de les « éblouir » du mirage matérialiste destiné à la ruine de leur sagesse humanité et en fin de compte à l’oblitération de l’authenticité de leur vision force.
Il a été prévu d’enseigner aux descendants des africains aux Antilles, cette « éducation officielle» ; l’argent et la politique ou la formation et l’information ne servent qu’à perpétrer l’aliénation et la domination des nègres par la division .Ce qui est la règle régalienne aux dernières colonies.
Les écrits des personnes savantes ont inventé à cet effet autant de vocables « crouilloneurs » : créolité, métissage, chabin, cabresse, coulis, mulâtres ...